Haussmann Fusac, spécialiste de la cession de portefeuille de gestion de patrimoine
HAUSSMANN FUSAC accompagne les courtiers en opérations d’assurance (COA) et les professionnels de la gestion de patrimoine à chaque étape du processus d’acquisition.
Grâce à notre solide réseau professionnel, vous pourrez étudier les propositions de structures mises en vente présélectionnée par nos soins en fonction de vos critères et conditions.
Le courtier en assurance est un intermédiaire entre assurés et assureurs. Propriétaire de son portefeuille clients, il est libre de céder son portefeuille, à la différence d’un agent général d'assurance dépendant d’une compagnie.
La réglementation de la distribution des produits d’assurance a donné naissance à de nouvelles contraintes qui compliquent les transferts de portefeuilles. Ainsi, la directive DIA 2 impose notamment une transparence en matière de rémunération des acteurs de la distribution des produits d’assurance.
Les nouvelles règles du métier impliquent une vigilance particulière des courtiers en assurance qui doivent désormais se structurer pour être en conformité avec les textes.
Comment connaître la valeur réelle d’un portefeuille de courtage en assurance ?
L’achat d’un portefeuille de courtage en assurance nécessite une certaine méthodologie et une analyse réfléchie des opportunités pouvant se présenter à vous.
L’estimation d’un portefeuille nécessite une connaissance du marché de l’assurance afin d’appliquer les bons coefficients aux commissions perçues. La faculté de résiliation infra-annuelle a influencé les techniques d’évaluation.
Des critères tenant à la composition du portefeuille (particuliers, petites entreprises, grands comptes, etc.) et à la qualité de ce dernier sont à étudier avec rigueur. Le nombre d’assurés composant le portefeuille est certes à prendre en compte, mais pas seulement.
Si les grands comptes représentent un chiffre d’affaires important, il faut aussi penser que ces derniers sont libres de partir du jour au lendemain.
Le rapport sinistres à primes est bien évidemment également à prendre en compte.
L’achat d’un portefeuille de gestion de patrimoine nécessite une connaissance du secteur afin d’être en mesure d’apprécier la valeur donnée des actifs proposés à la vente.
Le conseiller en gestion de patrimoine (CGP) exerce une activité d’intermédiation entre ses clients et différents acteurs du secteur bancaire, immobilier, boursier et assurantiel.
Cette profession a beaucoup évolué avec le renforcement de la protection du droit des consommateurs et la nécessaire uniformisation des pratiques.
Ainsi, les acteurs de l’intermédiation en gestion de patrimoine ont dû se structurer afin de se mettre en conformité avec la réglementation.
La directive MIF impose notamment aux conseillers en investissements financiers (CIF) des contraintes afin de « garantir que les objectifs d’investissement de leurs clients puissent être atteints de manière appropriée (…) » (article L. 541-8-1,7 du Code monétaire et financier).
L’achat d’un portefeuille de gestion de patrimoine appelle donc à une vigilance particulière au regard des nouvelles contraintes attachées à ce métier.
L’acquisition d’un portefeuille de gestion de patrimoine implique avant tout le rachat d’une clientèle qualifiée.
Pour cela, vous allez bien sûr étudier différents facteurs tenant notamment à la localisation et au potentiel économique du secteur géographique concerné.
L’estimation d’un portefeuille de gestion de patrimoine impose surtout une analyse réfléchie et critique de la clientèle existante, des actifs et des commissions drainées par cette dernière :
- comptes-titres et autres produits financiers ;
- contrats d’assurance-vie ;
- PER
- parts de FCP ;
- etc.
L’achat d’une clientèle de gestion de patrimoine impose d’être vigilant, notamment sur certains points clés :
- Consistance du portefeuille clients ;
- Réalité du chiffre d’affaires (placements et droits à commission) ;
- Garanties concernant le maintien du portefeuille après cession ;
- Résiliations ou rachats éventuels de contrats menaçant la pérennité de l’activité ;
- Bonne gestion des dossiers clients en cours ;
- Éventuelles clauses “intuitu personae” des contrats pouvant bloquer ou ralentir la transmission de ces derniers ;
- Éléments du fonds de commerce transférés (droit au bail, marque, enseigne, etc.) ;
- Salariés à reprendre en vertu de l’article L. 1224-1 du Code du travail, etc.
- Spécialiste de la transmission dans le secteur de la gestion de patrimoine,
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Julien HOUSSEMAND